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De Nouméa, je connais toutes les zones techniques, tous les ships, tous les magasins de bricolage...
grâce à Max, encore merci.
Un dernier pot ensemble et je trace dans le sud pour sortir de la zone des cyclones : la mauvaise saison approche.

Lundi  7 octobre

   
 

Pour aller plus vite j'envoie
" Le Bistrot Français "
mais cela va être sa dernière sortie.
Il explose en cours de hissage.
Merci Yann. C'est la destinée de tous les spis de finir comme ça. Depuis Toulon, il m'a tracté durant un bon nombre de kilomètres.

J'ai de la réserve ! Rien ne vaut du vent pour se cultiver.
En plus, il est tout neuf. Top !

 

Les oiseaux du large sont de retour. Toute la journée ils tournent autour du bateau l'air de rien et, subitement ils partent en piqué et ressortent de l'eau avec un poisson en travers du bec. Pour pêcher, ils sont meilleurs que moi.

 

A 500 km de la terre, j'ai la visite d'un tout petit.
 

 
     
 

La traversée se passe normalement bien, pas de casse mais du vent très instable qui me pousse un coup au nord et un coup au sud. Pas de quoi se reposer tranquillement.

 

Mercredi 16 octobre

   
 


 

 

17.00 heure, je rentre dans la baie. Par V.H.F. le capitaine du port m'a donné le n° de tel des douanes.
Je dois mouiller à l'extérieur du port et attendre demain matin pour les formalités.

 

Le matin, les douaniers me contactent par V.H.F. et, en moins d'une heure toutes les formalités sont bâchées.

Je peux naviguer pendant un an sur tout le continent Australien.

Lundi 21 novembre

   

 

La météo est bonne pour les jours à venir. Je lève l'ancre et cap sur Avalon, un fjord juste avant Sydney. Un vent idéal et je bats le record de la traversée.
Un vrai régal de navigation à fond mais tranquille et sans casse

 


Soirée à Sydney avec Jess et Chris en face de l'Opéra.

Avalon, (Pitwater), est le quartier général des Bray.
Jess et Chris ont fait le passage du Nord-Ouest les mêmes saisons que moi à bord de Teleport. Je les retrouve à Sydney en bus pour la soirée, nous dinons sur la terrasse face à l'Opéra.

 

SYDNEY

Le matin je pars à pied visiter la ville. Je traverse le célèbre pont du port de Sydney, contourne le port, l'opéra et je me promène dans l'immense Royal Botanic Garden.
Je prends ma dose de civilisation puis reprends le bus pour rentrer à la maison.

 


 

 

Pittwater est une immense mer intérieure très découpée avec de nombreux fjords. Au centre se trouve le Parc National de Ku-Ring-Gai Chase avec des mouillages tout autour.
Pas besoin de mouiller l'ancre, il y a plein de corps morts à disposition.

 

 

Je ne fais pas encore la différence entre les diverses sortes de kangooroos, mais cela sont des Wallaby. Dans la photo de gauche on peut voir la tête du petit qui sort de la poche.

 

     
 

C'est le nom des Aborigènes qui vivaient ici dans le passé.
A partir de la plage il y a plein de ballades magnifiques à faire dans le bush.

     



 

Les Aborigènes ont laissé quelques gravures sur des dalles. Il y a plusieurs sites protégés à visiter.
on peut reconnaître : un homme, une tortue, un poisson...

 

 

 

Dans Pittwater il y a probablement plus de 5000 voiliers dans les différentes marinas ou au mouillage.
Les Australiens, par nature très accueillants et curieux de voir un Français, m'invitent facilement sur leur bateau. C'est la bonne façon d'avoir les meilleures infos sur les bons spots à visiter, sur les vents locaux et plein de choses intéressantes.

Pendant ce temps là le grand cirque blanc a démarré à la montagne,
plein de neige, plein de clients, du froid...
Je commence à apprécier pleinement mes grandes vacances et
l'été austral qui commence tout juste.


 

Barrenjoey est la pointe sud de l'entrée du fjord. Le phare d'entrée est construit sur ce rocher de 120 mètres d'altitude, les falaises plongent directement dans la mer.
La vue est magnifique, d'un côté Pittwater de l'autre le grand large.
J'ai contourné cette pointe en pleine nuit, il y a quelques jours en arrivant.

 

 
       
       
 

Samedi 10 décembre

   
 

l'été approche et le climat est très agréable. Après quelques jours de repos, quelques belles ballades dans le bush et quelques bonnes soirées avec les potes,  je reprends la route.
Direction le sud-est de l'Australie puis la traversée du détroit de Bass jusqu'en Tasmanie.

 
     

 

     

 

Dimanche 11 décembre

Bon vent, belle mer ! Un saut de puce de un jour/une nuit en mer et je rentre dans Jervis Bay. Un grand golfe magnifique bien abrité. A l'intérieur, quelques belles plages de sable blanc très fin, séparées par des pointes de rochers, offrent des mouillages agréables.

 

Une grande partie de la baie est classée parc national. Bien que la région soit très habitée il n'y a pas une seule construction en bord de mer. Le respect de la nature semble être la règle.

 

 

Retour difficile à la maison en kayak.

The Hole in the wall.

 

Le weekend je retrouve Jess et Chris. Elle vient courir un triathlon. Elle finit 3ème, bravo Jess !
On se promène dans le bush, dans la mangrove.
 

 

Jervis baie est très connue pour abriter une colonie importante de dauphins. Ils sont habitués aux hommes et aux bateaux. Ils rôdent sans crainte près de la plage et autour des bateaux aux mouillages.


 

  Mardi 20 décembre

Je ne rate pas une bonne fenêtre météo. Encore un saut de puce de un jour/une nuit et au levé du soleil je rentre dans la baie d'Eden.
Depuis que j'ai quitté la route classique des alizés je rencontre beaucoup moins de voiliers tourdumondistes.
 La route de la Tasmanie n'a pas l'air de faire recette. Et c'est tant mieux !

 

 

Cette baie est très ouverte à la houle, le mouillage près du port est intenable par vent du sud et d'est et le quai est un vrai piège pour un petit voilier. Je fais le plein d'eau, un peu de bouffe et je mouille de l'autre côté de la baie.
Le mouillage est un peu mieux.
Je ne comprends pas pourquoi on a nommé cet endroit : EDEN.
 

 

Le mauvais temps finit par se calmer et après deux jours coincés à bord je peux enfin débarquer sur la plage.
Une demi-heure de marche m'amène à une ancienne station baleinière. La région était réputée pour la graisse de killer whale.

Le cabestan servait à hisser la baleine sur la plage où elle était dépecée.
Le chaudron faisait fondre le gras.
La station date du XVIIIème siècle.

       

Vendredi 23 décembre

La météo est bonne, je traverse le détroit de Bass et je bois l'apéro en Tasmanie.  
       
  A suivre...    
       
       
       

 

 

 

 

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